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http://ecosur.repositorioinstitucional.mx/jspui/handle/1017/1901
Las áreas verdes urbanas en la mitigación del calor : caso comparativo entre la ciudad de Filadelfia, EU y la ciudad de Mérida, México | |
Jorge Abraham Villaseñor Pérez | |
Holger Weissenberger Anmi García Arellano | |
Acceso Abierto | |
Atribución-NoComercial-SinDerivadas | |
Ecología urbana;Isla de calor urbana;Paisaje urbano;Zonas verdes Urban ecology;Urban heat island;Urban landscape;Greenbelts | |
Resumen en español: "Los ambientes urbanos se han caracterizado por reemplazar superficies naturales y vegetación, por superficies duras. Esto, produce una reducción de la capacidad de enfriamiento natural a través de la evaporación y la evapotranspiración. Por otra parte, el bajo albedo de los materiales predominantes en la ciudad, produce una mayor absorción y retención de la radiación solar. La combinación de estos factores, aunado a la emisión de calor producido por la industria, los automóviles y los sistemas de refrigeración/calefacción, generan que muchas ciudades experimenten el fenómeno de Isla de Calor Urbana (ICU) el cual ha sido descrito como el ejemplo más notable de la influencia antrópica sobre el clima. Las consecuencias negativas de este fenómeno se presentan tanto a nivel social como al nivel ecológico. Por ende, muchas ciudades han comenzado a revertir los procesos tradicionales de urbanización e implementar proyectos de manejo de áreas verdes e infraestructura verde urbana. El objetivo de este trabajo es caracterizar la situación actual de las áreas verdes de la ciudad de Mérida, Yucatán, México y la ciudad de Filadelfia, Pensilvania, EU. Para esto, se trabaja con imágenes Landsat 5, 7 y 8 para la obtención del Normalize Difference Vegetation Index (NDVI), a partir del cual se obtiene el porcentaje de superficie vegetada y los metros cuadrados de Área Verde (AV) por habitante, lo que permite tener parámetros comparables entre ambas ciudades. Por otra parte, el Índice de Isla de Calor Urbana (IICU) se calculó en diferentes iv fechas y se correlacionó la temperatura urbana con la presencia ausencia de vegetación. Los resultados muestran que la ciudad de Mérida ha experimentado un decrecimiento en las superficies vegetadas durante el periodo analizado, mientras que Filadelfia ha tenido una ganancia significativa. Los resultados muestran que la ciudad de Mérida ha experimentado un decrecimiento en las superficies vegetadas durante el periodo analizado, mientras que Filadelfia ha tenido una ganancia significativa. Mientras Filadelfia ha implementado un enfoque ambiental en la gestión de las áreas verdes urbanas, Mérida ha mantenido un enfoque urbano recreativo, que se refleja en reducidos espacios vegetados al interior de la ciudad. " Resumen en francés: "Selon L’Organisation des Nations Unies (ONU), en 2050, 60% de la population mondiale habitera en milieux urbains, et l'Organisation Météorologique Mondiale (OMM) prévoit que la température moyenne mondiale continuera d'augmenter par rapport aux niveaux préindustriels. Aux États-Unis, plus de 80% de la population vit en zones urbaines. En Amérique Latine, le nombre de villes a sextuplé au cours des cinquante dernières années, et aujourd’hui, près de 80% de la population est concentrée dans les villes. Ainsi, ce continent est considéré comme l’un des plus urbanisé de la planète. Les milieux urbains se caractérisent par le remplacement des surfaces naturelles et de la végétation par des surfaces asphaltées. Cela provoque une réduction de la capacité de refroidissement naturel dû à l’évaporation et l'évapotranspiration. De plus, le faible albédo de ces matériaux imperméables entraîne une plus grande absorption et rétention du rayonnement solaire. La combinaison de ces facteurs, associée à l'émission de chaleur produite par l'industrie, les automobiles et les systèmes de refroidissement ou de chauffage, génèrent une condition telle qu’actuellement, de nombreuses villes souffrent du phénomène appelé « îlot de chaleur urbain ». L’îlot de chaleur est une augmentation considérable de la température dans la ville, par rapport aux périphéries rurales et naturelles. Ce phénomène est décrit comme l'exemple le plus évident de l'influence humaine sur le climat. Cette comparaison permet d’évaluer les conditions actuelles de la ville de Mérida avec l’une des principales villes d'Amérique du Nord. En effet, Philadelphie a mis en oeuvre pendant plusieurs années des plans pour atténuer l’effet des îlots de vii chaleur. Et, plus récemment, des projets de gestion ont vu le jour dans cette ville, tels que des infrastructures vertes urbaines, la récupération de l'eau de pluie ainsi que d’autres projet d’adaptation aux changements climatiques. La ville de Philadelphie est presque deux fois plus grande que la ville de Mérida, autant pour sa population que pour son extension géographique. Toutefois, selon le NDVI, en 2000, les deux villes possédaient les mêmes proportions de couverture végétale, soit 18% pour Mérida et 19% pour Philadelphie. Ces pourcentages équivalents à 47 m² et 46 m² par habitant respectivement. De 2000 à 2016, la ville de Merida a remplacé de nombreuses surfaces naturelles par des surfaces imperméables. De cette façon, le pourcentage de la ville couverte par la végétation a été réduit de 5%. À l’inverse, la ville de Philadelphie a augmenté de 2,4% sa proportion de surfaces végétalisées. Ainsi, en considérant le nombre de mètre carrés de zone verte publique par habitant, la différence devient considérable, et ce en faveur de la ville de Philadelphie avec 21 m² de surface verte par habitant contre 4 m² pour Merida. Mérida a maintenu une approche urbaine dans sa gestion des espaces verts et vise l’objectif plus ambitieux d´atteindre 9 m2 d'espaces verts publics par habitant comme le recommande l’Office Mondiale de la Santé (OMS). Cependant, la ville ne possède pas de cadre juridique pour la réalisation de cet objectif, d’autant moins concernant la protection des espaces verts privés. Contrairement à Mérida, la ville de Philadelphie a utilisé une approche environnementale pour la gestion de ces zones vertes. Ainsi, elle a réalisé une viii augmentation des espaces verts au cours de la période d’intérêt. La ville compte actuellement 21 m2 d'espace vert publique par habitant, ce qui équivaut à 9% de la superficie urbaine totale. Cependant, malgré que la proportion d’espaces verts à Philadelphie, soit deux fois supérieur au minimum recommandé par l'OMS, la ville souffre encore des effets de l’îlot de chaleur urbain. Par conséquent, Philadelphie travaille désormais sur un plan pour atteindre l’objectif minimum de 30% de surfaces végétalisées dans tous les quartiers de la ville. Actuellement, les quartiers atteignant ce pourcentage n’ont aucuns problèmes avec la chaleur urbaine. Par conséquent, on peut estimer que 30% est un but plus réaliste que celui fixé par l’OMS, pour diminuer les effets d’îlot de chaleur urbain et les problèmes qu’ils engendrent. " | |
2017 | |
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